COUVERTURE MÉDIATIQUE
ŒUVRES
P=MG
Article de Agnès Izrine
Février 2013
Avec P=mg, Jann Gallois nous entraine dans une rêverie poétique sur l'impondérable avec une finesse toute féminine. Jann Gallois a imaginé un très joli solo où l'entrave et la difficulté à décoller du sol donne lieu à une gestuelle tout à fait originale et qui pose à merveille le rapport à l'élévation et à la chute nous conviant à une vraie libération du corps en live.
Auteur anonyme
P=mg, formule physique du poids, exprime une force d’attraction exercée par la terre sur tout objet se trouvant à proximité de sa surface. Dans ce spectacle récompensé par 9 prix internationaux, la jeune chorégraphe Jann Gallois cherche à mettre en relief la dimension psychologique de cette réalité physique.
Diagnostic F20.9
Article de Sophie Jouve
Janvier 2015
On sait qu'il sera question d'une femme aux multiples facettes. Peu à peu la tête et le corps semblent totalement dissociés. Jann Gallois invente avec une extrême richesse des gestes et des figures pour nous rendre palpable la maladie qui gangrène son personnage. "L'humanité persiste toujours sous la folie". dit elle, " certain y voient une malédiction, je préfère y voir un ferment de génie".
Lire l'article : L'audace et la justesse de Jann Gallois, belle surprise de Suresnes cités danse (francetvinfo.fr)
Delphine Baffour
Janvier 2015
Une chorégraphie précise et énergique, des mouvements d’une grande finesse et une interprétation aussi juste que virtuose servent à merveille le propos de Jann Gallois. Si son corps souple et vif comme son vocabulaire gardent l’empreinte du hip-hop, sa danse est très contemporaine. La scénographie, toute d’intelligents et d'élégants jeux de lumières, trace de subtiles limites entre folie et esprit sain.
Article de Sophie Jouve
Janvier 2015
L'audace et la justesse de Jann Gallois, belle surprise de Suresnes cités danse
Au festival de Suresnes, le programme "Cités danse connexions" permet de découvrir de jeunes chorégraphes hip-hop. Une excellente surprise avec Jann Gallois et son solo intitulé "Diagnostic F20.9", d'autant que les femmes chorégraphes ne sont pas si nombreuses dans l’univers du hip-hop.
COMPACT
Article de Nathalie Yokel
Janvier 2016
Voir Jann Gallois danser, c'est se trouver face à un corps hybride, où la finesse de ses articulations et la délicatesse de ses membres rivalisent avec une force interne très puissante. Bien assise dans sa technique, bien rodée à la mécanique hip hop, bien nourrie des états de corps traversés chez les uns ou les autres, la voici qui cherche sa propre signature. Indéfectiblement lié à l'autre, le corps cherche sa propre voie dans l'empathie tout comme dans l'émancipation. C'est un combat, une lutte, mais c'est aussi un entrelacs puissant pour dire ce besoin de chacun de prendre appui sur l'autre.
Article de Rosita Boisseau
Juillet 2016
Avignon : Jann Gallois aimante les corps, irrésistiblement. Le spectacle s'intitule Compact et affirme son titre jusqu'au bout. Impossible de décoller les deux partenaires pendant les trente minutes que dure ce spectacle. Ils remplissent non seulement le contrat de rester cimentés mais de déployer de multiples mouvements tous plus épatants les uns que les autres. Aucune psychologie facile dans cette fusion mais le pur attrait physique de deux corps aimantés irrésistiblement.
Lire l'article : Avignon : Jann Gallois aimante les corps, irrésistiblement (lemonde.fr)
Article de Didier Méreuze et Marie Soyeux
Juillet 2016
Attention, pépite ! Pour sa troisième création, la jeune chorégraphe Jann Gallois, de la compagnie BurnOut, s'est lancée un redoutable défi : élaborer une pièce de 23 minutes pendant laquelle les corps des deux danseurs restent totalement emmêlés, quoi qu'ils fassent. Passées la panique de se découvrir ainsi dépendant de l'autre et les tentatives – burlesques et acrobatiques - de s'en dépêtrer par tous les moyens, Jann Gallois et son complice Rafael Smadja, tous deux venus de l'univers du hip-hop, trouvent à se mouvoir et nous émouvoir dans ce corps double. Preuve de leur réussite, le spectateur oublie la contrainte pour admirer leur poésie.
CARTE BLANCHE
Article de Amélie Blaustein Niddam
Juillet 2016
Oulala, c'est de la bombe bébé ! Un trio de danse où le talent se conjugue avec humour et intelligence. Cela fonctionne comme un puzzle dont elles ne maîtrisent pas le sens. Ce cadavre exquis dansé est aussi une réflexion sur les bêtes de foire. Mais ici les singes changent de place et on accepte avec joie de réaliser qu'elles font semblant de jouer.
Elles s'amusent, parlent, s'adressent à nous et c'est formidable.
Lire l'article : [Avignon Off] L’espiègle Jann Gallois nous file les cartes - Toutelaculture
Article de Valérie Guédot
Décembre 2016
Les filles ont le vent en poupe sur la scène hip hop. Il faut dire qu’elles ont du coffre, des idées et les moyens de le faire savoir, à l'image de Jann Gallois et son trio Carte blanche.
Jonathan Chanson
Mai 2022
Dans Carte blanche, les trois interprètes, improvisent à partir de patterns bien maîtrisés. Le public est invité à donner un numéro entre un et huit, renvoyant à une séquence connue de chacune, ainsi que le prénom d’une des danseuses, lui indiquant ainsi la proposition à danser. Les interprètes enchaînent les chorégraphies, les rejouent, se rejoignent à certains moments, probablement l’aspect le plus jouissif de cette prouesse jazzy, maligne et contrôlée.
Lire l’article : Pour Carte Blanche et la dernière de Compact de Jann Gallois, l’altérité fait danse - ResMusicaResMusica
QUINTETTE
Article de Delphine Goater
Avril 2018
Venue de l’univers hip-hop et artiste associé au Théâtre de Chaillot depuis 2017, Jann Gallois signe un Quintette musical et chorégraphique original et percutant. C’est fluide et cela va vite. Jann fait confiance au mouvement et à l’énergie qui circule entre elle-même et ses quatre interprètes pour impulser à ce Quintette un art consommé du mouvement.
Article de Philippe Noisette
Avril 2018
Forte d’un parcours de musicienne, Jann Gallois impose désormais sa petite musique dans le monde de la danse.
Le spectacle sera tout autant une exploration musicale en scène car, pour Jann Gallois, « la danse est avant tout une musique qui se regarde, un chant du corps visuel et graphique “Quintette” tient la (bonne) note. »
REVERSE
Article de Delphine Goater
Décembre 2020
Les danseurs, en pantalon, gilet et bonnet noirs sur chemise blanche, tous issus du BBoying, interprètent une partition complexe et structurée, dans laquelle leur tête ne quitte jamais le sol. Jann Gallois est une chorégraphe qui sait utiliser les
techniques de la danse hip-hop, ici le Reverse, le Head Spin ou encore la Chair
Freeze, et les enrichir de sa pratique et de sa lecture contemporaine de la danse.
Lire l’article : Les danseurs de Jann Gallois à la Reverse - ResMusicaResMusica
Novembre 2020
Le Carré, à Château-Gontier-sur-Mayenne, accueille la compagnie BurnOut / Jann Gallois pour la création du spectacle Reverse : « Véritable performance physique et technique, Jann Gallois renverse les sens et engage les corps de cinq danseurs à ne plus décoller la tête du sol », décrit le centre d’art contemporain.
Lire l'article : Un spectacle de danse diffusé en ligne avec Le Carré (ouest-france.fr)
Article de Cédric Chaory
Novembre 2018
Réflexion sensorielle et corporelle sur le sens d'un monde sans dessus dessous, les
protagnistes de Reverse font écho à cette phare qui orne le site internet de la compagnie, à ces " âmes enfermées dans des boîtes, des boîtes qui gesticulent,interagissent et se démènent comme elles peuvent pour donner un sens à leur petit bout de vie". Jann Gallois confirme ici tout le bien que l'on pense d'elle, poursuivant sa quête d'un renouveau de la danse hip hop qu'elle appréhende comme un territoire de recherche et d'expérimentation salvateur.
SAMSARA
Article de Rosita Boisseau
Novembre 2019
Mélanger la danse hip hop et contemporaine avec le bouddhisme témoigne d’un état d’esprit audacieux. C’est le cas de Jann Gallois qui ne recule devant rien. Cinquième et nouvel opus de la chorégraphe, Samsara plonge sept interprètes dans ce fameux cycle de renaissance et de souffrance évoqué par le titre. Pour Samsara, les interprètes, saisis dans un réseau de cordes noires, réinventent leur relation au gré de multiples entremêlements.
Article de Rosita Boisseau
Novembre 2019
La corde tressée noire mesure trente mètres de long et pèse cent kilos. Elle enserre sept personnes les unes aux autres comme autant de nœuds scandant le câble épais. Elle les entortille par le cou et les hanches tel un troupeau, un groupe de prisonniers, d’esclaves… Elle se métamorphose en chaîne et les images pleuvent sur la première vision du spectacle Samsara, chorégraphié par Jann Gallois.
Dans la philosophie bouddhiste, le samsara, terme sanscrit qui signifie « ensemble de ce qui circule », « transition » ou encore « transmigration », évoque le cycle des existences et des renaissances successives des êtres.
Lire l'article : Danse : Jann Gallois, première de cordée (lemonde.fr)
INEFFABLE
Article de Emmanuelle Bouchez
Septembre 2021
"Jann Gallois est aux limites d'une danse transe d'une rapidité extrême, mais garde cette capacité rare de ne jamais lâcher ses spectateurs, les invitant à partager l'expérience de son regard profond, de son sourire doux, de son visage ouvert. Scène et salle grâce à elle, semblent ne jamais avoir été aussi proches. Sensation Ineffable..."
Article de Ariane Bavelier
Septembre 2021
Elle pousse l'expérience avec une maestria époustouflante. Rien ne résiste en elle à la puissance de la musique et de la danse. Elle se laisse complètement agir par elles, compose des images qui soulignent leur pouvoir et leurs interactions
Article de Philippe Noisette
Septembre 2021
On feuillette les pages de cette partition chorégraphique, riche d'emprunts aux danses d'ailleurs (...). Du Japon à l'Inde, Gallois navigue à vue, passe du Cor au synthétiseur, imagine des boucles de son et de mouvement, défie la wadaiko, l'art du tambour dans un même élan. Il y a quelque chose de jubilatoire à voir une telle interprète changer de masque, petit garçon tout d'abord puis courtisane l'instant d'après."
Lire l'article : Montpellier Danse, Made in France (sceneweb.fr)
MANDALA
Article de Manuela Gouache
Avril 2022
Seize personnes ont répondu à l’appel lancé pour cette participation inédite. Aucune connaissance en danse n’était demandée dans cet appel et aucune limite d’âge. Juste la motivation et le sérieux de s’engager sur le projet complet, soit une semaine intensive. Tous les âges sont représentés et la plus jeune, Ida, a 14 ans. Deux hommes font partie du groupe. Certains n’ont jamais dansé, d’autres sont un peu plus avancés en expérience et deux sont des danseurs confirmés.
Camille
Merci à vous tous pour cette magnifique expérience scénique et humaine ! Qu'est-ce que je suis fière d'avoir fait partie de ce projet et d'avoir rencontré de si belles personnes! Merci pour tout!
Elodie
Feu d'artifice d'émotions...
Entre pression et jubilation
Foule de sensations et d'exploration
Just a good vibration
Re connexion
Merci du plus profond
IMPERFECTO
Article de Fatma Alilate
Février 2022
Jann Gallois et David Coria ont formé un duo très complice. Les tableaux foisonnants et créatifs se sont succédé avec fluidité et des pointes d’humour. Les deux danseurs ont joué habilement de leurs “imperfections” en proposant des traversées étonnantes de la danse. Avec les musiciens, ils ont été ovationnés pour cette pièce Imperfecto dont c’était la première mondiale au Théâtre de Chaillot, dans le cadre de la Cinquième Biennale d’art flamenco.
Article de Antoine Couder
Février 2022
C’est l’aisance, presque la tranquillité qui frappait dans cette chorégraphie dont Jann Gallois, on l’imagine, à régler les détails, montrant combien elle pouvait jouer avec l’idée de circuler dans la danse, sans rompre avec ses propres références, sans en rester non plus prisonnière. Mais Flamenco et Hip-hop peut-être sont deux disciplines qui relèvent d’une culture communautaire, folklorique au bon sens du terme ; là où le public est toujours à deux doigts de monter sur scène, entre amateur et connaisseur, portant et ambiançant la liesse des danseurs.
Lire l’article : Une journée de médiation au Théâtre de Chaillot - Toutelaculture
Article sur la page facebook de la cie BurnOut
Elise 8 ans
Février 2022
J'ai aimé quand David était en robe à paillettes et Jann en sumo. Ils étaient drôles, pas comme tout le monde et ils se regardaient. Le sumo dansait presque du flamenco. Ils ont montré que même si on est différent et pas parfait, on peut s'aimer et trouver du beau dans chacun.
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